Le 29 avril, j’avais rendez-vous avec JC Villafan au Live Music Café. En solo. J’ai finalement eu la compagnie d’une acolyte surprise en dernière minute : ma petite sœur. Plus tôt dans la journée, ce jeune artiste soul/folk de Los Angeles se produisait en effet dans son lycée et il faut croire que le jeune homme a fait forte impression… (et pas que sur elle parce que c’est toute la bande qui s’est pointée le soir pour assister à nouveau à une performance live).
L’interview s’est déroulée dans des circonstances particulières puisque j’ai eu la chance de passer l’intégralité de la soirée à ses côtés. Avant de passer aux choses sérieuses, on a donc eu tout le loisir de discuter et j’ai ainsi pu constater une fois de plus à quel point le monde est petit, JC ayant été à l’école avec Miguel. Bon, pas dans la même classe, ni dans la même année, mais c’était intéressant de confronter nos opinions de lui.
Je chéris toujours ces petits moments privilégiés avec les artistes, qu’ils durent quelques minutes ou une heure, parce que je trouve qu’ils font toujours toute la différence au moment de l’interview. Vous observerez notamment que mes rires de truie sont beaucoup plus fréquents mais, en échange, j’ai face à moi un interlocuteur détendu qui garantit la bonne ambiance d’une conversation entre amis.
À l’aise, JC l’était tout autant sur scène où il a délivré une prestation sincère, humble et chaleureuse, qui m’a transportée bien plus encore que son EP (et heureusement parce que l’inverse serait décevant !). En bonus, j’ai découvert Mervie en première partie, un talent bien de chez nous qui a réussi à faire groover la comptine Tous les légumes. D’ailleurs, ce n’est sans doute pas la dernière fois que j’en parlerai sur Urban Soul. Mais d’ici là, je vous propose de revenir à JC Villafan avec ses confidences, ses réflexions, sa bonne humeur, et surtout, son irrésistible franglais. Monsieur s’imprègne depuis quelque temps de la langue de Molière et il s’avère qu’il n’a pas été épargné par une certaine Nabilla… À découvrir en vidéo !
